L'air contenu dans les alvéoles est différent de celui de l'atmosphère
Nous avons vu que grâce au surfactant, le volume pulmonaire et donc le volume des alvéoles n'est jamais nul, même en fin d'une expiration. Ainsi, lors d'une inspiration, l'air que nous inspirons se mélange avec l'air déjà contenu dans les alvéoles, air enrichi en dioxyde de carbone. En plus, l'air inspiré va se saturer en eau et se réchauffer. Ces trois aspects expliquent les différences de pression partielle observées selon les zones considérées. |