Rappels
D'un point de vue Lagrangien, le théorème des quantités de mouvement s'écrit :
(la dérivée du torseur des quantités de mouvement d'un domaine de fluide que l'on suit dans son mouvement est égale à la somme des forces extérieures appliquées au domaine).

Cette égalité entre deux torseurs conduit naturellement à deux égalités vectorielles : l'égalité des résultantes générales des torseurs et l'égalité des moments résultants des torseurs. Ces égalités fournissent les équations dynamiques et les équations de moment.
Égalité des résultantes générales

Égalité des moments résultants

M est un point dans le volume, N est un point sur la surface, O est un point fixe dans le repère galiléen (par exemple l'origine)
Le projection de la première de ces relations dans le repère donnera les équations dynamiques locales.